Extraits du livre
A-t-on apprêté, sans savoir ni le prescrire, ni dans une moindre mesure, le démêler implicitement ? Et cela, aussi franchement, bien de sa ténacité que de nombreuses malfaisances de ses thésaurisations primitives latentes ? Ces structures enfermaient, non sans guêpier, leurs indispensables contradictoires et semblants intransigeants. Celles-ci devront muter, subtilement ensemble, en faveur et en disgrâce inlassables de la liberté fondamentale des individus. Tandis qu’elle tient un lieu solennel au final contre leur propre souveraineté intellectuelle.[1] En effet, un joug économique ou financier demeure permanent, puissant ou préjudiciable. Pareillement, admirable contre tout indéterminisme auprès de l’idée même à l’origine de laquelle ladite liberté devrait se bâtir. Et ce, contre quelques noms que portent des autorisations ou des instances tyranniques. Qu’elles soient dites de lumineuses ou bien d’appellations cartésiennes.
Si le laïc, le plus concrètement du monde, se définit comme « une vie civile, par opposition à la vie religieuse, ou indépendamment des organisations religieuses »[2], tel que nous le définit le Larousse – alors, son sens, même dans un austère minimum étymologique, ne peut encore dégager correctement l’intégrale ou l’herméneutique aspiration qui l’entoure. Sinon, devrait-il lui conférer, au minimum, un sens plus dégagé, plus débloqué, mieux authentifiable. Le laïc (ou la laïcité) revêt, en toutes ces exigences péremptoires et ordinaires, l’identité de tout individu, alors même qu’elle n’est pas que relative à tout
La parole de Dieu prend ainsi un autre sens, alors que les usages païens empruntent un étrange dissemblable rudiment. Le verbe, sinon la parole de Dieu, se conjugue à l’encontre de tout homme obscurci et présomptueux de ses propres prestiges. Altier de son spectacle personnel, et partant exclusif des fortunes du peuple. Exclure et renvoyer de ses vues immédiates certaines inclinations aux malicieux et malins détestables
Aussi, la naissance du Christ et la bonne nouvelle du salut coïncident en même temps que le pouvoir de la plénitude du mal dans le monde. La grâce et le bon cohabitent, alors que l’argent et les convoitises autant que le diable sillonnent le monde par des pinacles de la politique, de l’économie et parfois devant d’exécrables textures, ils se démantèlent au ras du confessionnel. Et de combien cependant, tout imbu du tempérament humain. Toute convenance et toute loyauté deviennent incommodes et ingérables.