Extraits du livre
Ami lecteur, vous vouliez connaître la vérité, la vraie vérité, eh bien, la voilà ! Mais bien entendu, vous n’êtes pas obligés de me croire et pouvez même jeter cet ouvrage dans la poubelle.
Mais attention, un jour de retour, vous ne pourrez dire au Bon Dieu « Père, pardonne-moi, je ne savais pas ! »
Vous avez eu ici la possibilité de savoir et ne l’avez pas prise au sérieux (c’est pour cela que depuis des millénaires l’homme est encore sur Terre alors que cela devrait être, non plus la planète bleue, mais le paradis).
Dans la partie que vous venez de lire, j’ai beaucoup parlé d’incarnation et de réincarnation…
Là non plus, vous n’êtes pas obligés de me croire, mais entre nous, si vous ne croyez pas être venus plusieurs fois sur la Terre, vous ne pouvez non plus croire en Dieu, c’est logique, Dieu aurait créé lui-même l’iniquité en faisant naître des enfants qui allaient être orphelins, en tuerait d’autres pour faire souffrir les parents, il ferait mourir la maman d’un jeune enfant, il aurait fait des beaux, des laids, bien sûr ; des riches et des pauvres, des handicapés de toutes sortes, sourds, muets, aveugles, etc. où serait son amour puisque l’on dit et nous pouvons aussi le lire dans toutes les écritures anciennes, Dieu est joie et amour !
Pour mieux encore me connaître, je vais retourner en arrière et parler de mes vies antérieures, les approfondir davantage, en fait, je pense que beaucoup parmi les lecteurs se retrouveront dans ces récits.
En effet tous nous avons gravi les échelons de la spiritualité vie après vie, alternant les bonnes et les mauvaises, les races et couleurs de peau, tout comme nous avons pénétré à chaque vie dans les religions… Mais véritablement, en regardant vivre le monde actuellement, je me demande si toutes nos vies ont bien servi à notre évolution et je ne parlerai ici que des vies, disons-le, en opposition, bien ou mal.
J’ai vécu des vies comme nous tous dans l’Atlantide, une civilisation qui a disparu dans l’Apocalypse et depuis, nous recherchons partout les Atlantes. Mais en fait, c’est simple ; c’est nous !