Extraits du livre
Il souhaitait aussi profiter d’être à Saint-Jorcel pour bien se revigorer, prendre l’air pur et se détendre.
Bien revigoré, aéré, purifié et très détendu, il est reparti en connaissant fort bien sa délicieuse et belle cousine Léonie, intimement, très intimement même.
Certains soirs d’Aout 1908, à l’Escarpe des Ferrières, tous deux, allongés dans les foins neufs et enivrants, sous des clairs de lune complices, s’aimaient avec passion. Tant, qu’ils se laissaient emporter dans des tempêtes d’étoiles.
L’une d’elles, la plus étoilée de toutes, leur offrait “un enfant de l’amour”.