Extraits du livre
Il s’arrêta net, ne pouvant plus avancer. Ce morceau de musique, il le reconnut tout de suite : c’était Violin Sonata n° 6 de Niccolo Paganini, que son père ne se lassait pas d’écouter. (p. 61)
Or lorsque deux êtres en arrivent à sentir l’absence de l’autre, le besoin de se voir, de se toucher, ne serait-ce qu’un effleurement, une légère caresse, alors on sait que ce n’est pas que de l’amitié, c’est sûr, c’est de l’amour. (p. 206)