Extraits du livre
EXTRAIT DU LIVRE
Paris, un jour de mai 1964…
Le temps d’une douceur caressante exceptionnelle invitait au farniente…
En quittant mon lieu de travail à la rue de Berri, je croisai une collègue, avec laquelle je n’avais que de vagues contacts. Elle me proposa d’aller boire un verre à l’un des cafés des Champs-Élysées. Il faisait si beau, j’acceptai.
Elle se nommait Maurie (abrégé de Mauricette).
Elle m’ouvrit son cœur, un cœur qui pleurait sur une vie tellement triste ! Je m’épanchai à mon tour.
Une merveilleuse amitié naquit.
Un mois plus tard, je partis deux semaines à Londres, travailler dans une société affiliée,
afin d’améliorer mon anglais. J’allais y rester une année. C’est alors que vinrent les
lettres…