Extraits du livre
Page 14, lignes 5 à 7
Mais Antoine ne se sentait toujours pas vraiment bien. Il pensait confusément qu’il fallait qu’il fasse autre chose, qu’il se retrouve seul, qu’il réfléchisse sérieusement à l’avenir. […]
Page 14, lignes 21 à 27
Et au total, il resta de quoi payer les chambres, plus un souper fin !
Le lendemain matin, Antoine se réveilla avec un peu mal aux cheveux. Brigitte, nue comme la main, s’examinait devant la glace, en prenant des poses : « Tu ne trouves pas que j’ai vraiment un beau cul ? »
Antoine soupira et réclama son petit déjeuner en pensant « encore des regrets inutiles en perspective… »